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Histoires de thérapie

Salim

Salim a réussi à sortir de l'éjaculation précoce grâce à un programme en ligne.

Ces témoignages préservent l'anonymat des personnes. Les prénoms ont été modifiés. Certains détails géographiques ou professionnels sont légèrement changés. Les photos proviennent de catalogues de photos libres de droits.

Salim

Précoce depuis ses 17 ans

La durée de ses pénétrations a toujours été courte, avec des pénétrations ne dépassant que très rarement les 30 secondes.

Il s'en est sorti en étant célibataire

Salim n'osait plus fréquenter des femmes à cause de son problème. Il a suivi le programme durant une période où il n'avait aucun rapport sexuel.

Il avait consulté un premier thérapeute

Lorsqu'il était en couple, Salim avait tenté un traitement avec un thérapeute, mais sans obtenir d’amélioration.

Depuis le début de sa vie sexuelle à deux, Salim (prénom modifié) éjaculait systématiquement en 30 secondes.
Il a malgré tout vécu de belles histoires avec des compagnes compréhensives.
Mais à 26 ans, Salim s'est retrouvé célibataire. Il s'est alors rendu compte que son problème sexuel le bloquait pour faire des rencontres.

Éric : Bonjour Salim. Pouvez-vous s'il vous plaît vous présenter ?

Salim : Je m'appelle Salim (prénom modifié), j'ai 28 ans, je travaille dans le secteur du jeu vidéo.
J’habite près de Montpellier (nom de ville modifié).

Éric : Vous m’avez raconté que vos premiers rapports sexuels ont eu lieu à l’époque du lycée. Vous étiez déjà à Montpellier ?

Salim : Oui. J’ai fait une partie de mes études supérieures dans une autre région, mais je suis originaire du coin. Ma sexualité a débuté avec ma première “vraie” copine au lycée. Elle s’appelait Emma (prénom modifié).

En riant : Je suis encore étonné qu’elle ait accepté de sortir avec moi ! J’étais objectivement très moche. J’étais très maigre avec plein d’acné, je n’avais aucune passion intéressante, ni aucun style vestimentaire.
Tous mes potes me chambraient gentiment là-dessus. Ils me disaient qu’on était mal assortis, parce qu’elle était beaucoup trop bien pour moi.

Ce qui m’a sauvé, c’est que j’aime parler avec les gens et plaisanter. Je tiens ça de mes parents. Ils tiennent un commerce et discutent avec tout le monde.

Éric : Comme pour la plupart des hommes, vos premiers rapports sexuels ont été très rapides, ce qui est normal. Mais ce n’est pas passé, ensuite ?

Salim : Malheureusement, non. Au début, il m’arrivait même parfois d’éjaculer avant l’intromission. J’en ai un peu honte, mais au début, je ne me préoccupais pas beaucoup du plaisir d’Emma. À cet âge, faire l’amour, c’était déjà un tel défi, un tel saut vers l’âge adulte que ce qu’elle ressentait exactement n’était pas super important.

Ce n’était même pas totalement une démarche égoïste de ma part. Au final, je savourais aussi que très peu mon propre plaisir. La symbolique d’avoir un acte sexuel, c’était ce qui comptait.

Je me souviens qu’Emma ressentait à peu près la même chose. L’important pour elle, c’était surtout la perte de sa virginité et le fait de faire savoir à ses copines qu’ensemble, “on le faisait”.

C’était très naze, mais dans notre lycée de Province, avoir des relations sexuelles, c’était surtout un symbole. On était en réalité peu concentrés sur le plaisir.

Avec ma première copine, le plus important, c’était que tout le monde au lycée sache qu’on faisait l’amour… même si en réalité, on n’y prenait assez peu de plaisir.

Mon histoire avec Emma n’a duré que quelques mois. Par contre, je suis resté pendant 8 ans avec ma seconde copine, Safia (prénom modifié). Elle était un peu impressionnée au début : elle était vierge et j’avais déjà eu des rapports sexuels avant elle.

Il a fallu plus d’un an avant qu’elle se sente prête à sauter le pas.

J’ai éjaculé très vite dès notre première fois. Ça ne s’est jamais arrangé par la suite.

Le premier soir, Safia a été un peu déçue que j’éjacule aussi vite.
Mais finalement, on a refait l’amour dans la soirée. C’était très sympa et sa première fois est restée un bon souvenir.

Après ça, on a fait l’amour très régulièrement.
Elle avait une petite chambre d’étudiante où on passait tout notre temps. Notre relation a duré 8 ans. On a habité ensemble et on a fait l’amour plusieurs fois par semaine. Mais malgré nos rapports sexuels très fréquents, j’éjaculais toujours en 30 secondes.

À cette époque, je crois que j’ai tout tenté pour prolonger mes rapports sexuels.

  • J’ai essayé de me masturber juste avant le rapport
  • Ensuite, j’ai stoppé toute masturbation pendant plusieurs mois
  • J’ai essayé de contracter mes muscles internes pour retenir l’éjaculation
  • J’ai musclé mon périnée en pratiquant les exercices de Keygel pendant près d’un an
  • J’ai essayé de penser à autre chose pendant les rapports sexuels
  • J’ai essayé de mettre un garrot à la base de mon pénis
  • J’ai tenté d’utiliser la douleur me pinçant pendant la pénétration

Rien n’a fonctionné.
J’en ai parfois presque pleuré de déception.

Étrangement, je ne crois pas que cela gênait beaucoup Safia.

On était tous les deux très investis dans notre histoire. Je me préoccupais beaucoup de son plaisir. J’ai beaucoup utilisé mes doigts. Plusieurs fois, on a aussi testé des sextoys, mais elle n’a pas beaucoup aimé. J’ai surtout beaucoup utilisé ma langue et ma bouche pour lui donner du plaisir.

Sans me vanter, je crois que je suis devenu très bon pour donner du plaisir avec ma langue.
Avec ça, Safia accédait à l’orgasme presque à chacun de nos rapports.

Pour compenser, j’étais devenu le roi du cunnilingus.

Ça nous a permis d’avoir pendant plus de 6 ans une vie sexuelle relativement épanouie.

J’étais quand même assez frustré.

Comme j’éjaculais en 30 secondes, je prenais assez peu de plaisir physique, en tous cas avec la pénétration.

Je vivais aussi chaque éjaculation trop rapide comme un mini échec.
Ça me pesait.

Éric : Je crois que votre histoire avec Safia s’est terminée il y a quelques années ?

Salim : Oui. On pensait pourtant qu’on finirait par fonder une famille.
Mais après le lycée, on a pris des chemins professionnels très différents. On ne s’intéressait plus aux même choses. Ça nous a éloigné.

Mon travail dans le jeu vidéo était extrêmement chronophage. J’ai accepté une mission aux USA. Elle était sensée me rejoindre un an plus tard, mais l’éloignement et le surmenage ont fini par mettre un terme à notre histoire.

Après une désillusion professionnelle aux USA, je suis rentré en France.

Lors de mon retour en France, ma situation personnelle était plutôt déprimante.

Je n’avais pas de travail, j’étais célibataire, et j’étais plombé par mon éjaculation précoce.

Je me répétais sans cesse :
“Ta situation sexuelle passait avec Safia parce qu’elle était vierge au début de votre histoire. Mais aujourd’hui, si tu couches avec une autre femme, elle aura connu d’autres hommes.
Du coup, comme tu ne “gères” pas, elle va être déçue. Ou alors, elle va te rire au nez”
.

Éric : Et vous n’aviez pas consulté, jusqu’ici ?

Salim : si, mais ça n’a pas duré longtemps. Avec Safia, on était allé voir une femme sexologue à Montpellier. On l’avait trouvée grâce à une recherche Google.

Ça n’a pas fonctionné. Elle nous a beaucoup interrogés séparément sur notre conception du couple et sur notre façon de communiquer. Elle a beaucoup insisté sur la nécessité de parler de notre avenir et sur le fait de faire des préliminaires.
Mais Safia elle-même disait que je n’avais pas de problèmes de ce côté-là.

Ce qui m’a déçu, c’est qu’elle ne donnait pas vraiment de conseils sexuels. Ses recommandations restaient assez abstraites.
Après trois séances, j’avais arrêté les consultations.

J’ai débuté votre programme en ligne parce que je n’avançais plus.

Une fois rentré en France près de ma famille, je me suis reconstruit.

J’ai trouvé un nouveau travail moins stressant.
J’ai pris soin de moi et j’ai fini de digérer ma rupture. Mais au moment de recommencer à séduire des femmes, je me suis rendu compte que j’étais bloqué.

Même si mes précédentes partenaires avaient été très bienveillantes par rapport à mon éjaculation précoce, j’anticipais énormément ce que passerait avec la suivante.

Au bout d’un moment, je me suis rendu à l’évidence. J’étais bloqué.

Ça faisait deux ans que j’étais célibataire.
À cause de mon problème sexuel, je me trouvais sans cesse des prétextes pour procrastiner et pour ne pas m’inscrire sur une appli de rencontre.

C’est à ce moment-là que j’ai vraiment commencé à me renseigner sur l’éjaculation prématurée. Je suis tombé sur vos contenus et j’ai finis par rejoindre votre programme en ligne de rééducation sexuelle.

Éric : Comment s’est passé le programme, pour vous ?

Salim : Ça s’est “bien” passé, j’imagine. Comme je n’avais pas de partenaire, j’ai avancé rapidement.

En un peu plus d’un mois, j’avais essoré votre programme.
J’ai joué le jeu à fond, en suivant soigneusement toutes les vidéos. J’ai pratiqué tous les exercices de masturbation que vous recommandez.
Je suis même allé plus loin. Je relisais vos consignes sexuelles en imaginant que j’étais déjà en train de les appliquer soigneusement, au lit, avec une femme.

Le programme donne des consignes sexuelles très détaillées avec des exercices à pratiquer.
J’ai beaucoup apprécié le niveau de détail qui est donné.
On trouve des explications sur comment se masturber correctement et à quelle fréquence.

Il y a aussi des détails auxquels je n’avais jamais pensé.
Par exemple, vous indiquez comment savoir si c’est le moment est bien choisi pour débuter la pénétration.

Ce que je ne m’attendais pas à trouver, c’était les détails sur le fonctionnement sexuel féminin.

Je connaissais bien déjà les bases.
Votre programme ne m’a pas fait découvrir le fonctionnement du clitoris : je connaissais déjà.

Par contre, j’ai découvert des choses moins connues, qui sont très utiles pour aider un homme à maitriser son excitation.

J’ai appris que contrairement à ce qui se passe avec notre pénis, le vagin féminin n’est pas très sensible aux frottements.

Comme leur vagin est moins sensible aux frottements, ça veut dire que les va-et-vient constants sont moins nécessaires que ce je pensais !

Éric : Et après avoir terminé le programme, vous avez réussi à faire des rencontres ?

Salim : J’avais prévu de m’inscrire sur Tinder, mais finalement, je n’en ai pas eu besoin !

Peu avant de terminer le programme, j’ai rencontré par un couple d’amis une de leurs potes qui était célibataire depuis quelques mois.

J’ai tout de suite eu un bon feeling avec elle.
Avec un plan cul Tinder, je craignais que la fille se moque de moi. Mais avec une personne de mon cercle d’amis, je savais qu’elle ferait des efforts pour rester sympa.
De toute façon, je sentais bien qu’elle n’était pas du genre de se moquer.

J’étais aussi très impatient d’essayer les consignes de votre programme.

On a couché ensemble assez vite et ça s’est passé aussi bien que ce que je pouvais espérer.

La première fois qu’on a couché ensemble, j’étais horriblement anxieux.

Depuis des jours, je relisais les consignes de votre programme en boucle. J’ai aussi beaucoup imaginé que j’appliquais vos indications avec Audrey (prénom modifié).
J’ai essayé de tout visualiser dans les moindres détails.

Et enfin, le jour “J” est arrivé !

Ce soir-là, je n’ai pas éjaculé rapidement !
…mais c’est parce que je n’ai même pas réussi à être en érection (rires) !

Ça nous a rapprochés.

Quand je pensais à ma première fois avec Audrey, j'étais effrayé par l'idée d'avoir une panne sexuelle.

Mais finalement, mon érection défaillante ne m’a pas du tout démoralisé !

Je lui ai expliqué que c’était simplement parce que j’étais stressé.
Sur le coup, je me suis surpris moi-même, à rester aussi détendu.

J’ai été capable d’en plaisanter.
Le moment n’a pas du tout été gênant. Audrey a bien pris la situation, on en a ri.

En fait, on était surtout ravis d’être nus dans les bras l’un de l’autre, à se raconter des bêtises en traînant au lit.

Le lendemain matin, on a refait un câlin, mon érection est arrivée et les choses se sont enchaînées très simplement.

Je n’ai pas chronométré, mais je pense que la pénétration a duré environ quatre minutes.
Audrey n’a pas eu un orgasme pendant cette pénétration, mais pour moi, c’était déjà un progrès fantastique !

Dans la foulée, ce matin-là, on a refait l’amour encore deux autres fois.
Lors de l’une des deux fois, la pénétration était interminable, je crois qu’elle a duré 15 minutes. Je me souviens avoir eu du mal à éjaculer.

Et aujourd’hui, je suis toujours avec Audrey !

La véritable révolution, c’est que peu à peu, la durée de la pénétration a cessé d’être une grande préoccupation.

Mais ça ne veut pas dire que je me suis transformé en star du X !
Parfois, si je ne fais pas attention, je vais jouir en moins de deux minutes.
Mais le plus souvent, ça dure au minimum 4 ou 5 minutes.

Je n’ai même pas besoin de déployer des efforts immenses pour y arriver. Je fais juste un peu attention à mes sensations.
Je ne tiens pas des comptes précis, mais régulièrement, j’atteins environ les 8 à 12 minutes.

Techniquement, la durée de mes pénétrations n’est pas toujours hyper régulière.
Ce qui change tout, c’est que le sujet n’est plus vraiment un stress.

Quand j’ai terminé le programme, j’étais très focalisé sur la durée. Mais en ce moment, ça m’intéresse moins.

Sexuellement, j’écoute plus mes envies.
Si je réfléchis à ce qui me “motive” en ce moment, ce serait plutôt de réussir lui donner plus souvent un orgasme par la pénétration.

Par exemple, j’ai découvert il y a peu une chose qu’Audrey apprécie particulièrement : elle aime quand mon pénis en érection est dans son vagin, mais que je ne fais pas de mouvement.

Je stimule son clitoris avec mes doigts, sans bouger mon pénis qui est à l’intérieur. Ça lui donne beaucoup de sensations !
Bien sûr, on ne fait pas que ça. On varie. Mais une de mes petites explorations du moment, c’est ça.

Éric : Je suis ravi pour vous deux. C’est exactement le type d’approche de la sexualité que je préconise. Avez-vous d’autres choses à partager aux hommes qui vont vous lire ?

Salim : Oui. Il y a un truc qui me perturbe un peu : je ne peux pas expliquer exactement ce qui a fonctionné pour moi.

Votre programme est super, il contient plein de conseils précieux. Je sais aussi que j’ai aussi eu de la chance, en rencontrant Audrey.

Mais si quelqu’un me demande ce qui m’a donné “le déclic” qui m’a permit d’enfin apprendre à maitriser mon excitation… je suis incapable de donner l’explication précise.

Je suis bien sûr ravi d’avoir dépassé l’éjaculation précoce.
Mais ce qui me perturbe, c’est ce problème m’a bien pourri la vie pendant des années, pour finalement disparaître sans explication évidente.

Si vous êtes toujours bloqué avec l’éjaculation précoce, je suis désolé, je sais que mon récit est nul.

Votre programme en ligne est sérieux. Je le recommande, mais je ne peux même pas expliquer exactement ce qui a fonctionné dedans pour moi.

J’imagine que c’est un mélange entre les conseils et les exercices sexuels à pratiquer pour s’entraîner.

Au niveau de mon état d’esprit, j’étais aussi dans une période où j’ai pris soin de moi et où j’ai accepté de faire confiance à quelqu’un.
Je pense aussi que ça m’a aidé.


Je remercie chaleureusement Salim pour son témoignage.